Présidée par le Premier ministre Nikol Pashinyan, une réunion a eu au gouvernement consacrée aux projets en cours et à venir de construction de routes.

Le Premier ministre a noté que l'Etat est responsable de la qualité et du bon fonctionnement des infrastructures : « Malheureusement, la qualité des infrastructures n’est toujours pas à la hauteur, mais nous comprenons également que nous devons déployer les efforts les plus efficaces pour faire avancer les choses dans ce domaine. Il est crucial pour nous d’apporter des changements qualitatifs considérables dans la construction des routes. Je veux parler du contrôle de la qualité des routes et de la supervision technique pour garantir que les fonds sont dépensés efficacement, et que les routes servent aussi longtemps que le prescrivent leurs règlements techniques ».

Le ministre des Transports, des Technologies de l'information et de la communication, Ashot Hakobyan, a fait état de progrès dans la mise en œuvre de projets de construction de routes nationales et locales financés par le budget de l'Etat. Le Ministre a indiqué qu’à l’origine, il était prévu de construire des routes et des tronçons de route de 66 km de long dans tout le pays, pour un coût total de 6,4 milliards d’AMD en 2018. Les projets prévus seront intégralement mis en œuvre.

Soulignant l’importance de réaliser des économies supplémentaires afin d’aborder plus de tronçons routiers qu’en 2018, le Premier ministre a demandé aux responsables des structures concernées d’explorer à nouveau la possibilité d’élargir les activités et de fournir des ressources supplémentaires pour la mise en œuvre des projets de construction de routes en cours.

Des questions relatives à la maintenance du réseau routier, aux mécanismes d’entretien, à la définition des normes techniques et de qualité strictes, à l’amélioration des conditions d’appel d’offres et au processus d’achat ont été également discutées lors de la réunion.

Dans le contexte d’une efficacité de contrôle accrue, le Premier ministre Pashinyan a mis l’accent sur la nécessité d’élaborer des normes de qualité et des spécifications techniques plus strictes, en chargeant les responsables de discuter et de présenter des solutions communes.