À l'occasion du Nouvel An et de Noël, le Premier ministre par intérim, Nikol Pashinyan, accompagné du Catholicos de Tous les Arméniens Garéguine II et du chef de l'état-major des forces armées, Artak Davtian, s'est rendu au poste de combat à la veille des fêtes. Nikol Pashinyan a pris connaissance des équipements techniques modernes d'état-major utilisés dans le système des forces armées, y compris la production nationale. Ensuite, le Premier ministre par intérim a rencontré des soldats et des commandants, a visité la base militaire.

Nikol Pashinyan a encouragé un groupe d'officiers et de soldats qui se sont distingués pour leur courage et leur dévouement pendant leur service en leur offrant des cadeaux, après quoi il a dîné avec des militaires à la base militaire.

Le Chef du gouvernement a félicité tous les militaires de l'Armée arménienne pour les fêtes à venir, leur a souhaité bonne chance et les a remerciés pour leur dévouement: “C’est un grand honneur pour moi d’être avec vous aujourd’hui, car le contenu qui symbolise la rencontre d’aujourd’hui est le plus important pour notre État et notre peuple. Ce contenu est la sécurité de notre pays et de notre peuple et la réalisation des rêves de notre peuple en tant que mission.

Je veux dire quelque chose très importante; le problème et le but du gouvernement de la République d'Arménie sont très clairs: au cours d'activités politiques, notre gouvernement doit soutenir au maximum les réalisations de nos combattants pour la liberté et de nos forces armées, parce que nous ne pouvons pas traiter ces réalisations comme des réalisations ordinaires. Nous traitons ces réalisations comme une opportunité historique pour notre peuple, que chacun de nous doit protéger et préserver au maximum afin que nous puissions vivre fièrement. Mais nous devons aussi comprendre que ce n’est pas une tâche facile et que la résolution de ce problème nécessite des efforts particuliers et une responsabilité particulière de la part de chacun de nous. La visite que nous effectuons aujourd'hui montre également que cette responsabilité incombe à notre pays, à nos forces armées et notre tâche est de rendre ce sentiment de responsabilité aussi institutionnalisé que possible.

Regardez, nous sommes maintenant dans une poste dans la construction de laquelle notre compatriote bienfaiteur a eu sa contribution, la direction militaire a la sienne et la direction politique-la sienne, et avec cette coopération, nous avons pu améliorer la situation.

Récemment, nous avons eu une séance du Conseil de sécurité qui a duré toute une journée. Des décisions très importantes ont été prises lors de la séance. L’importance essentielle de ces décisions est que nous devons accorder une attention particulière au niveau de protection sociale de nos militaires. Nous devons accorder une attention particulière aux conditions de service de nos soldats et nous ne parlons pas seulement des officiers en service, mais également de ceux qui ont pris leur retraite.

Bien entendu, le principal facteur de la force de l’armée est son soutien fort, une société puissante et forte qui croit d'abord en elle-même, croit en ses forces armées, au gouvernement, et croit finalement en Dieu, ce qui n'est pas moins important car sans foi, il est impossible de réussir.

Levons nos verres à cet indivisible, pour que chacun de nous accomplisse son service à son poste. Enfin, il s’agit d’un poste de combat, mais il est très important que nous comprenions tous que le bureau du premier ministre, le bureau du gouverneur et le bureau du chef de la commune sont aussi les postes de combat. La salle de classe est aussi un poste de combat.

Notre tâche est que chacun de nous, dans son poste de combat, soit prêt aux mêmes sacrifices que notre soldat qui maintient notre sécurité dans de telles conditions. Si chacun d'entre nous s'attend à une telle perception et à une telle approche de son service, je suis convaincu que, dans ces circonstances, des centaines de questions seront résolues. Je porte un toast à tous nos postes de combat. Je lève mon verre pour que chacun de nous, dans son poste de combat, soit digne de nos martyrs, de nos soldats, de notre histoire et nos générations”, a noté Nikol Pashinyan.