Communiqués de presse
NIkol Pashinyan: «Nous encourageons la politique de salaires élevés, encourageant ainsi les professionnels hautement qualifiés»
- 1670x1113px - 578 Kb
- 1670x1113px - 587 Kb
- 1670x1113px - 597 Kb
- 1670x1113px - 581 Kb
- 1670x1113px - 584 Kb
- 1670x1113px - 537 Kb
- 1670x1113px - 609 Kb
- 1670x1113px - 507 Kb
- 1670x1113px - 547 Kb
- 1670x1113px - 622 Kb
- 1670x1113px - 706 Kb
- 1670x1113px - 600 Kb
- 1670x1113px - 465 Kb
- 1670x1113px - 553 Kb
- 1670x1113px - 631 Kb
Plus 12 d'images
Le Premier ministre Nikol Pashinyan a visité aujourd'hui l'Université d'État d'Erevan et a rencontré les professeurs et les étudiants de la faculté d'Economie et de Gestion .
Saluant les personnes présentes, le Premier ministre Pashinyan a souligné l'importance des discussion dans ce format et a notamment abordé la vision de la révolution économique. «Je veux expliquer avec quelques paramètres ce que nous entendons en disant «révolution économique» en termes de résultat et de méthode . Nous avons déjà indiqué que la vision de l’économie de la République d’Arménie est la suivante: L'Arménie devrait devenir un pays de haute technologie et le secteur de la technologie devrait devenir le moteur de son économie. Si nous essayons de clarifier cette formulation plus en détail, je peux souligner que notre vision est que, dans 10 ans, les 10 ou 20 plus grandes entreprises d'Arménie devraient être des entreprises du secteur de la technologie, contrairement à aujourd'hui, lorsque les plus grands contribuables sont des entreprises qui opèrent soit dans le domaine monopolistique naturel ou non naturel, soit dans l'industrie minière», à noté le Chef du gouvernement. Selon Nikol Pashinyan, en tant que locomotive de l’économie, la force motrice s’entend à la fois des technologies douces (soft) et des technologies dures (hard).
Selon le Premier ministre, le suivant point important est que l'Arménie devrait être un pays où la main-d'œuvre est hautement qualifiée. «À notre avis, la République d'Arménie devrait sortir du statut de pays à main-d'œuvre mal qualifiée, cela signifie que la main-d'œuvre de notre pays devrait être hautement qualifiée. Et voici la chaîne suivante de la révolution économique, qui est bien sûr liée à l’éducation. Il s'ensuit que nous devons procéder à de profonds changements dans le domaine de l'éducation , et l'objectif principal de ces réformes devrait être que le système éducatif soit en mesure de donner les étudiants hautement qualifiés et qu'au moment où ils quittent les établissements d'enseignement, ils doivent être prêts et avoir le statut de spécialiste compétitif. Notre vision principale à cet égard est que la composante de recherche de l’enseignement supérieur devrait augmenter progressivement. La recherche et le travail scientifique devraient occuper une place plus importante dans le système scientifique et, avec le temps, cette direction devrait être renforcée», a noté Nikol Pashinyan.
Le Premier ministre a présenté la vision du développement économique de l'Arménie selon laquelle le gouvernement de la République d'Arménie devrait mener une politique de rémunération élevée. «L’un des outils les plus importants de notre politique en matière de salaires élevés est la définition de l’impôt sur le revenu global dans le Code des impôts de la République d’Arménie, avec la condition préalable que l’impôt sur le revenu soit réduit pour nous dans les 3-4-5 ans, atteignant 20% de l’impôt fixe. Ainsi, nous pensons que nous encourageons des salaires élevés, la politique de salaires plus élevés et encourageons donc l'éducation et les spécialistes hautement qualifiés. En général, il faut noter qu’en disant le spécialiste hautement qualifié, nous entendons non seulement le domaine technologique, mais également le fait que le système boursier en République d'Arménie se développera de manière significative dans un proche avenir».
Nikol Pashinyan a noté que le gouvernement travaille également dans cette direction en essayant de trouver des sociétés d’État en République d’Arménie dont les titres seront disponibles au marché et d’encourager les entreprises privées à suivre ce cheminavec certains ajustements. Selon le Chef du gouvernement, le système bancaire et le système de services en Arménie ont du succès, et il est également possible d'attirer ici des spécialiste hautement qualifiés. Mais en meme tamps, selon lui, même avec de gnads efforts, il ne sera pas possible d'amener la main-d'œuvre potentielle de l'Arménie à la meme qualification et un certain clivage ici est inévitable. «C’est pour la résolution des problèmes liés à ce clivage, nous avons déclaré l’agriculture comme une priorité de notre gouvernement, qui, en fait, est également liée aux technologies, et le secteur du tourisme. Nous pensons que la partie de la main-d'œuvre qui ne correspond pas à notre segment de haute qualification peut être intégrée dans cette section, en fournissant une certaine dynamique de développement des petites et moyennes entreprises, en garantissant un certain niveau de bien-être et en assurant une certaine possibilité d'effort individuel», a dit Nikol Pashinyan.
Concernant la méthode de mise en œuvre de la révolution économique, le Premier ministre Pashinyan a dit: « Comme dans le cas de la révolution politique, dans ce cas aussi, l'outil principal et le plus important pour nous est l'effort individuel. En d'autres termes, notre principal outil devrait consister à encourager les citoyens, à encourager les citoyens à changer leur comportement économique et, en général, à la fois en tant qu'objet d'activité économique et en tant que sujet d'activité économique».
Le Premier ministre Nikol Pashinyan a ensuite répondu aux questions des professeurs et des étudiants de la faculté d'économie et de gestion de l'université d'État d'Erevan concernant la mise en œuvre effective du modèle de développement économique de l'Arménie, la coopération entre le gouvernement et la communauté économique, la promotion et l'intensification du potentiel d’expertise locale, les réformes du système éducatif, la formation de la chaîne éducation-science-recherche-marché du travail, la formation de spécialistes qualifiés par le système d'enseignement supérieur, l’encouragement du capital humain, travail intellectuel et effort individuel des citoyens, la création d'un transporteur national, ainsi que l'idéologie nationale, le règlement du conflit du Haut-Karabakh, etc.