Les questions liées à la réforme du système d’évaluation de la sécurité familiale ont été discutées aujourd’hui sous la présidence du Premier ministre Nikol Pashinyan.

D'abord, une brève analyse a été présentée sur la situation actuelle du système d’évaluation de la sécurité familiale mis en place en 1994, sur les principes d’évaluation, les types de soutien et les lacunes du système. En tant que tel, ils ont noté l'implication des mêmes familles dans le système depuis de nombreuses années, l'existence de critères subjectifs conditionnés par le facteur humain, le manque de motivation pour quitter le système, l'inactivité des personnes socialement vulnérables, etc. La version préliminaire du nouveau système élaborée sur la base de l’élimination des conséquences de la pauvreté, de la conformité des besoins aux programmes de soutien, de la réduction substantielle des critères subjectifs et du facteur humain, de l’introduction du système de motivation et d’autres objectif, a ensuite été présentée qui a été s.

Les participants ont échangé leurs points de vue sur les amendements proposés et ont présenté un certain nombre d'observations et de recommandations.

Résumant la discussion, le Premier ministre a souligné que le système actuel d'évaluation de la sécurité familiale ne vise pas à vaincre la pauvreté et que la priorité du gouvernement est de faire en sorte que l'aide aux familles socialement vulnérables soit aussi ciblée que possible. Le Chef du gouvernement a souligné que le soutien de l'Etat devrait avoir un impact tangible sur l'éradication de la pauvreté et l'élimination de la pauvreté extrême. En d'autres termes, le nouveau système devrait être axé sur la pauvreté et ne pas créer un environnement favorable à la pauvreté. Nikol Pashinyan a chargé de poursuivre les discussions au sein du groupe de travail, en plaçant ces deux objectifs au cœur du concept de réforme.