Communiqués de presse
Suite à la décision du Gouvernement, la frontière terrestre et la communication avec l'Iran seront fermées pendant deux semaines à partir d'aujourd'hui, à quelques exceptions près
- 1670x1113px - 608 Kb
- 1670x1113px - 344 Kb
- 1670x1113px - 430 Kb
- 1670x1113px - 506 Kb
- 1670x1113px - 396 Kb
- 1670x1113px - 491 Kb
- 1670x1113px - 322 Kb
- 1670x1113px - 395 Kb
- 1670x1113px - 398 Kb
- 1670x1113px - 329 Kb
- 1670x1113px - 369 Kb
- 1670x1113px - 436 Kb
- 1670x1113px - 375 Kb
- 1670x1113px - 352 Kb
- 1670x1113px - 733 Kb
- 1670x1113px - 748 Kb
- 1670x1113px - 592 Kb
Plus 14 d'images
Le Premier ministre Nikol Pashinyan a tenu aujourd'hui une réunion qui a porté les travaux sur la prévention de l'épidémie de coronavirus en République d'Arménie.
Au cours de la réunion, les participants ont discuté de la situation actuelle dans le monde et dans notre région conditionnée par l'épidémie de coronavirus et de la prévention de l'épidémie en Arménie. Le ministre de la Santé Arsen Torossian a présenté des statistiques sur la prévalence, la morbidité et le taux de mortalité des coronavirus en ce moment, a abordé les mesures prises dans notre pays pour la prévention, le contrôle des citoyens arrivant en Arménie, la formation technique et le diagnostic des institutions médicales de la République d'Arménie.
Au cours de l'échange de vues, de nouvelles mesures ont été examinées, y compris des mesures à prendre concernant la propagation du coronavirus dans la République Islamique d'Iran voisine. Le Premier ministre a donné des recommandations correspondantes aux chefs des départements concernés.
Résumant les résultats de la réunion, le Premier ministre Nikol Pashinyan a noté: « À la réunion de la Commission de prévention de l'épidémie de coronavirus, nous avons discuté de nos actions pour empêcher l'entrée de coronavirus en Arménie, et l'urgence de cette discussion est liée au fait qu'il y a déjà des morts causés par l'épidémie de coronavirus dans la République Islamique d'Iran voisine et amie - il y a huit décès, et nous devons prendre des mesures. À la suite de discussions, nous avons décidé qu'aujourd'hui, par décision du gouvernement, nous fermerions la frontière terrestre pendant deux semaines, ainsi que la communication avec la République islamique d'Iran.
Bien sûr, il y aura des exceptions; le transport de marchandises sera effectué sans restrictions, une surveillance spéciale sera accordée aux chauffeurs de transport de marchandises et une procédure spéciale de transport de marchandises s'appliquera. Il n'y aura aucune restriction sur le retour des citoyens - les citoyens de la République islamique d'Iran, qui sont en Arménie et les citoyens de la République d'Arménie en Iran, sont libres de retourner dans leur patrie.
l y aura certaines restrictions, mais pas complètes, sur les communications aériennes. Nous prendrons ces restrictions, cette décision pendant deux semaines, et dans deux semaines, nous serons en communication plus étroite avec la République Islamique d'Iran afin d'avoir une évaluation plus complète de la situation et de décider conjointement de ce que nous ferons ensuite.
D’une façon générale, je voudrais également souligner qu'il n'y a pas lieu de paniquer. Oui, il y a un problème, mais Dieu merci, au moins jusqu'à présent, la République d'Arménie a réussi à éviter d'avoir le cas de coronavirus, et nous espérons que nous pourrons maintenir cette situation grâce à nos efforts. Mais de toute façon, je pense que nous devons avoir une attitude très froide, sobre et calme face à cette situation, et la panique et les rumeurs n'aide certainement pas à résoudre le problème.
Il convient également de noter que le Ministère de la santé de la République d'Arménie, l'Inspection de la santé et du travail disposent actuellement de tous les moyens techniques nécessaires pour diagnostiquer la maladie. Et notons également que la Commission travaille depuis le 30 janvier et que les contrôles aux frontières ont été renforcés avant même le 24 janvier. Il est donc très important de constater que nous ne répondons pas à la propagation de l'épidémie en Iran, mais nous avons commencé ce processus beaucoup plus tôt et espérons que cette méthode de travail sera efficace à l'avenir.
Aujourd'hui, le gouvernement prendra une décision lors d'une séance, et la décision entrera en vigueur à partir d'aujourd'hui. Bien sûr, il y a une certaine flexibilité, et les processus actuels doivent être gérés, c'est-à-dire que la frontière n'est pas fermée à 100%, mais, comme je l'ai dit, avec les exceptions déjà mentionnées. »