La séance ordinaire du Conseil de sécurité présidée par le Premier Ministre Nikol Pashinyan a lieu à Erevan.

Le Premier ministre Pashinyan a prononcé un discours dans lequel il a noté:

"Bonjour, chers collègues.

Aujourd'hui, nous tenons une session ordinaire du Conseil de sécurité de l'Arménie. Lors de la séance précédente, nous avons adopté la nouvelle stratégie de sécurité nationale. L'urgence et la viabilité de ce document ont été enregistrées très peu de temps après cette décision. Il a été noté que nous avons fait une évaluation précise les menaces de sécurité de notre pays et en général, l'évaluation stratégique de notre environnement de sécurité était de haute qualité.

Après notre session précédente, les événements bien connus de Tavush et les batailles victorieuses ont eu lieu. Il convient de noter qu’au cours de la période précédente, l'Azerbaïdjan a adopté une position dans laquelle la solution non militaire au problème du Karabakh, son incapacité à le lancer, a été présentée comme une concession à la fois à l'Arménie et à la communauté internationale. Et pendant tout ce temps, nous avons exhorté les dirigeants de l'Azerbaïdjan à ne pas parler avec l'Arménie en position de force, dans le langage de la force, c'est une rhétorique futile. Et, en fait, les batailles victorieuses de juillet ont prouvé qu'il n'y avait pas de solution militaire au problème du Karabakh. Je pense que qu’il est temps que les autorités azerbaïdjanaises acceptent cela, car j'ai dit à plusieurs reprises plus tôt que s'il y avait une solution militaire au problème du Karabakh, le peuple d'Artsakh peut affirmer qu'il l'a résolu il y a longtemps.

Il est important de dire que la position l'Arménie dans le conflit du Karabakh a été et continue d'être constructive. Notre position est limpide: oui, le conflit de l'Artsakh doit être résolue par des négociations pacifiques, indépendants du contexte politique des gouvernement et des autorités.

Le facteur suivant, qui est fixsé dans la Stratégie de sécurité nationale et s'exprime très rapidement, est la politique destructrice de la Turquie dans notre région et dans le monde entier. Je pense que les activités déstabilisantes et destructrices de la Turquie suscitent de vives inquiétudes chez nos partenaires du Moyen-Orient, de la région eurasienne et de la région européenne. C'est un agenda qui a déjà été formé, և sur cet agenda, nos actions devraient également faire l'objet d'un débat majeur au Conseil de sécurité, au gouvernement, au ministère des Affaires étrangères, et nous en discuterons lors de la séance d'aujourd'hui.

En général, le bilan le plus important que nous devons à faire est que la République d'Arménie est capable de relever ses défis en matière de sécurité. Dans le même temps, nous devons nous fixer la tâche d'augmenter le niveau de gestion de l'environnement de sécurité chaque semaine, chaque mois, chaque année. Et le Conseil de sécurité est le format du travail où telles questions doivent être discutées et résolues".

Un certain nombre de questions liées au domaine de la sécurité sont à l’ordre du jour de la session du Conseil de sécurité.