Communiqués de presse
Sous la présidence du Premier ministre, les travaux réalisés dans le domaine de la prévention de la corruption ont été discutés
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Sous la présidence du Premier ministre Nikol Pashinyan, une réunion régulière du Conseil de la politique anti-corruption s'est tenue au gouvernement.
L'ordre du jour de la réunion comprenait la présentation des travaux réalisés dans le domaine de la prévention de la corruption.
La présidente par intérim de la Commission pour la prévention de la corruption, Mariam Galstyan, a fait rapport sur l'implémentation de méthodes pilotes dans le système d'évaluation et de gestion des risques de corruption, les régulations législatives, l'adoption d'un paquet législatif dans le cadre des recherches sur la probité, ainsi que les tendances générales associées à ces mesures. Le travail de contrôle des activités financières actuelles des partis a également été abordé, ainsi que les modifications législatives apportées au système de probité des responsables occupant des fonctions publiques et des agents publics. Des détails ont été fournis sur les résultats de la déclaration de patrimoine, notamment l'analyse des déclarations, les processus de notification, etc. Mariam Galstyan a également présenté le travail de numérisation, en évoquant le système électronique de déclaration, la comptabilité financière des partis, la plateforme électronique de la Commission pour la prévention de la corruption, ainsi que la plateforme de sensibilisation à la corruption.
Une discussion sur ces sujets a eu lieu, au cours de laquelle les membres du conseil ont échangé leurs points de vue sur le développement continu des mécanismes de travail de la commission, l'amélioration du système de probité, le perfectionnement du système de déclaration, etc.
Le Premier ministre a souligné que l'une des conditions les plus importantes pour la mise en œuvre de la politique anti-corruption est non seulement la volonté politique, mais aussi le développement des institutions. Nikol Pashinyan a précisé que le problème est beaucoup plus global et concerne non seulement la Commission pour la prévention de la corruption. Selon le Premier ministre, cela doit également être abordé dans le contexte du système judiciaire et de la sphère socio-psychologique. À cet égard, le Premier ministre a souligné l'importance de la politique de l'éducation à la corruption et a précisé que des décisions stratégiques ont été prises pour assurer la communication en vue d'améliorer la perception de la corruption dans les administrations publiques. "Il est absolument nécessaire de le faire, car il est très important de mettre à jour régulièrement la sensibilisation des gens à la corruption et à ses diverses manifestations. Dans ce sens, je considère qu'il est important que nous puissions transmettre les changements dans notre législation aux départements, aux responsables et aux personnes concernées", a indiqué Nikol Pashinyan, ajoutant que ce travail doit être continu.